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    Article rédigé par Joshua pour le journal IEF des enfants "L'écho des non-sco". 

     

    Le pOèmE De MéTRo 

     

    Pourquoi ne pas écrire un poème pour passer le temps dans le métro ?

    C’est ce que propose le poète Jacques Jouet dans son poème “Poème de métro”.

    “Qu’est-ce qu’un poème de métro ?

    J’écris, de temps à autre, des poèmes de métro. Ce poème en est un.

    Voulez-vous savoir ce qu’est un poème de métro ? Admettons que la réponse soit oui. Voici donc ce qu’est un poème de métro.

    Un poème de métro est un poème composé dans le métro, pendant le temps d’un parcours.

    Un poème de métro compte autant de vers que votre voyage compte de stations moins un.

    Le premier vers est composé dans votre tête entre les deux premières stations de votre voyage (en comptant la station de départ).

    Il est transcrit sur le papier quand la rame s’arrête à la station deux.

    Le deuxième vers est composé dans votre tête entre les stations deux et trois de votre voyage.

    Il est transcrit sur le papier quand la rame s’arrête à la station trois. Et ainsi de suite.

    Il ne faut pas transcrire quand la rame est en marche.

    Il ne faut pas composer quand la rame est arrêtée.

    Le dernier vers du poème est transcrit sur le quai de votre dernière station.

    Si votre voyage impose un ou plusieurs changements de ligne, le poème comporte deux strophes ou davantage. 

    Si par malchance la rame s’arrête entre deux stations, c’est toujours un moment délicat de l’écriture d’un poème de métro.”

     

    J’ai testé ce jeu en allant à mon cours de guitare et voilà le poème que j’ai écrit : 

     

    L’artichaut qui se balade n’est pas le même,

    Mais il récolte les graines qu’il sème

    Dans sa quête d’amour vaine

    Et il s’éteint dans une plaine 

    Pleine de bons sentiments

    Mais il n’aime pas les gens,

    Car oui, l’artichaut préfère aimer le temps.



     

    C’est un peu difficile selon le temps entre chaque station, mais le résultat est amusant !

    Je vous invite à essayer !

     


  • Après qu'il ait étudié quelques contes et lu nombre de romans d'aventure, j'ai proposé à Joshua de rédiger à son tour un court récit imaginaire, un conte. Il a construit lui-même la trame, imaginé des lieux, des personnages, une quête, pour un résultat que je trouve plutôt bien structuré. Et c'est avec étonnement et plaisir que j'ai découvert son vocabulaire et ses tournures, étoffés au fil de ses lectures. Voici son récit. 

     

    Aline et la jeunesse retrouvée 

     

    Il y a longtemps vivait une jeune femme qui n’avait pas l’air d’en être une :

    en effet, Aline avait 24 ans mais d’apparence, on aurait dit qu’elle en avait 80, ce qui l’embarrassait au quotidien. Par exemple, le jeune marchand Arthur la prenait pour une vieille femme et lui faisait des réductions, ce qui n’était pas dérangeant, à ceci près qu’il lui parlait comme à une grand-mère. Un jour, Aline décida de lui dire la vérité. Arthur crut au début qu’elle se moquait de lui, mais il avait cependant déjà entendu parler d’une jeune femme qui aurait reçu un sort de vieillesse de la part d’un sorcier. La légende locale disait aussi que seule l’épée qu’un ogre gardait sur lui pouvait vaincre ce mage noir. Arthur décida donc d’accompagner Aline dans sa quête.

    Tous deux se mirent en route vers la région des Blozéards, terre de marécages abritant toutes sortes de créatures maléfiques.  Après un périple de sept jours où ils endurèrent boue, pluie et orages, ils arrivèrent devant une cavité rocheuse au fond sombre d’où se dégageait une puanteur infâme. Aline et Arthur en conclurent que c’était là la grotte de l’ogre qu’ils recherchaient. Aline établit un plan de bataille : Arthur allait distraire l’ogre et Aline lui prendre sa légendaire épée. 

    Ils entrèrent dans la grotte et trouvèrent l’ogre endormi.

     Aline passa discrètement derrière l’ogre et tenta de lui subtiliser son épée… mais l’ogre se réveilla ! Il ouvrit ses trois énormes yeux et les braqua sur Aline. Le monstre leva son épée, et Arthur, héroïquement, mit son amie hors de portée du géant. L'ogre rugit alors : “Qui êtes-vous, mortels, pour troubler mon sommeil ?” Aline réfléchit un instant et déclara : “Je suis Aline et voici mon compagnon Arthur. Nous sommes ici pour vous emprunter votre fameuse épée.” Le géant dit alors sur un ton soudainement amical : “Approche, Aline, je te donnerais volontiers mon épée mais j’aimerais bien voir de plus près ton visage…” 

    Aline, qui était d’une naïveté assez conséquente, s’approcha du géant sans se méfier. L’ogre voulut alors la saisir dans ses énormes mains mais il n’y arriva pas !                                                       

    Aline, qui ne comprenait pas ce qui se passait, voulut aider l’ogre. Elle s’approcha encore plus près mais le collier que son père lui avait légué la protégea : l’ogre fut projeté contre le mur et une grande pierre de la caverne tomba sur son énorme tête, le neutralisant définitivement. Arthur se précipita alors sur l’épée car la caverne commençait à s'effondrer sur les deux aventuriers. Ils eurent juste le temps de sortir, que déjà la grotte avait disparu sous les décombres.

         

    Aline et Arthur se mirent ensuite en quête du sorcier. La légende racontait qu’il habitait dans un grand château parsemé de pièges diaboliques. Trouver le château ne fut pas de tout repos mais grâce à l’aide des habitants, ils aperçurent le château au bout de deux semaines. 

    Le château dégageait une aura sombre et maléfique. N’importe qui aurait eu peur. Aline et Arthur avaient aussi peur mais ils savaient qu’ils devaient entrer dans ce château si Aline

    voulait récupérer son apparence.

    Etrangement, le pont-levis se baissa pour qu’ils puissent passer.

    Aline et son compagnon entrèrent dans une pièce de taille modeste. Au fond de cette pièce,  dans un renfoncement, se trouvait un escalier en colimaçon. Aline monta l’escalier, mais en montant, elle avait l’étrange impression de descendre. Aline et Arthur continuèrent de monter, monter, monter jusqu’à ce qu' ils se retrouvent dans les oubliettes du château. “Mais que se passe-t-il ?” demanda Arthur. Aline réfléchit et dit : “Je crois que cet escalier est inversé ! Pour monter, nous devons descendre !”.

    Effectivement, sa théorie se révéla juste : en descendant, Arthur et Aline arrivèrent au niveau de la petite pièce où ils étaient précédemment. Ils descendirent encore et arrivèrent dans une grande pièce sombre. Une silhouette se distinguait au milieu de la pièce, celle d’un homme portant un chapeau et tenant un bâton avec à son extrémité un rubis. “C’est donc toi qui, il y a 12 ans, m’as jeté ce sort !” s’exclama Aline. Le mage ne répondit pas. Alors, Arthur sortit l’épée de son fourreau et s'avança vers le sorcier. Celui-ci se retourna et de son bâton lança à Arthur un sort si puissant qu’Arthur s’écroula au sol. 

    Aline s’adressa alors au sorcier : “Ô sorcier, je suis juste venue te demander d’annuler le sort que tu m’as lancé il y a maintenant douze années de cela !”. Le mage lui répondit : “Je veux bien annuler le sort mais il me faut quelque chose en échange. Je veux ton collier magique.”  Aline tendit la main à son cou pour saisir le collier, mais celui-ci avait disparu ! "Oh non, s’écria Aline, j’ai dû le perdre dans la grotte de l’ogre !”.

    Pendant ce temps, Arthur se relevait petit à petit. Il glissa l’épée dans le dos d’Aline et attira l’attention du sorcier : “Grand sorcier, viens me défier !”. Le sorcier s’approcha d’Arthur pour lui lancer un sort mortel mais Aline, qui était derrière son dos, l'assomma avec le plat de son épée. Le mage s’effondra et Aline alla chercher des cordes pour l’attacher. Ceci fait, Aline soigna Arthur car celui-ci saignait de la jambe.

     Le sorcier se réveilla quelques minutes plus tard : “Vous avez réussi à m’attacher, mais, je ne romprai jamais ce sort !”.

     Arthur sortit l’épée de son fourreau et Aline dit au mage : “Si vous n’annulez pas ce sort, mon ami Arthur vous tuera.” Le mage essaya de se libérer mais ce fut vain. Finalement, résigné, il déclara : “Vous avez gagné, je vais te libérer de ce sort.” Le sorcier prononça une formule magique et, dans un éclat de lumière, Aline redevint la jeune fille de 24 ans qu’elle était censée être.

    La route du retour se fit sans soucis particuliers, si bien qu’au bout d’une lune, Aline et Arthur étaient rentrés chez eux. A peine arrivés chez Aline, la mère de cette dernière sortit de la maison en courant. “Aline, tu as réussi à retrouver ta jeunesse ! Comme tu es belle mon enfant !”

    Arthur dit au revoir à Aline pour la laisser profiter de ses retrouvailles avec sa mère et aller lui-même retrouver ses parents. La mère d’Aline la mena à l'intérieur pour qu’elle lui raconte ses aventures. 

     

    Et c’est ainsi que se finit l’histoire d’Aline la jeune grand-mère.   

     

     


  • Joshua commence à s'intéresser de près à l'ornithologie, un virus sympathique transmis par ses copains non-sco contaminés depuis déjà plusieurs années. Il aime le côté chasse au trésor, la version naturaliste du jeu Pokémon, attrapez-les tous ! Il a réalisé une petite liste de tous les oiseaux qu'il se souvient avoir déjà vus, liste qu'il rallonge à chaque sortie. Pour l'aider à identifier les oiseaux, il y a bien sûr ses amis et puis le guide ornithologique que l'un deux lui a prêté, son nouveau livre de chevet. 

    Je me suis abonnée à la page FB de la LPO du Nord (Ligue pour la Protection des Oiseaux) afin de pouvoir lui proposer des sorties sur le thème et c'est ainsi que vendredi dernier, il s'est rendu avec son frère sous un ciel grisounet à la Citadelle de Lille pour y découvrir quelques spécimens de la faune à plumes. Voici son récit de cette sortie.

     

    Sortie à la Citadelle le 25 juin 2021

     

    Nous sommes arrivés à la Citadelle vers 9 heures pour une sortie ornitho en compagnie de Françoise, notre guide qui est passionnée par ces petits volatiles qu’on nomme “oiseaux”.

    Françoise a tout d’abord vérifié que tout le monde était là et nous a ensuite prêté des jumelles appartenant à la LPO. Nous avons un peu avancé en lisière de forêt et puis notre guide nous a fait écouter quelques chants et montré des silhouettes d’oiseaux sur une fiche de la LPO, tels que la perruche, le troglodyte mignon, et la pie bavarde. Pendant qu’elle nous expliquait comment identifier certains oiseaux, un faucon crécerelle est passé au-dessus de nous. Nous avons ensuite observé un grand cormoran et des canards col vert, qui barbotaient sur une mare. J’aurais bien aimé voir un martin pêcheur d’Europe mais il ne s’est pas présenté devant nos yeux.   

    Nous avons aussi vu des martinets noirs, un troglodyte mignon, un pouillot véloce, une fauvette à tête noire, un étourneau sansonnet, un héron cendré et nous avons entendu des pinsons des arbres et des mésanges à longue queue. 

    Cette sortie était ma première avec la LPO et j’ai apprécié l'ambiance du groupe, la guide, et je sais maintenant identifier plusieurs chants d’oiseaux. 

    Food box: Chou Romanesco ... pour une jolie salade

     


  • A côté de sa passion pour l'aviation, Nathanaël s'est découvert un engouement certain pour les chiens, engouement pour lequel l'arrivée dans la famille d'un gros doudou à poils longs et grandes dents n'est pas sans lien ;) Il a souhaité consacrer son dernier article pour le journal non-sco aux sports canins et le partager ici. N'hésitez pas à lui laisser un commentaire, à lui poser des questions sur le sujet, si un nouveau hobby vous prenait :)

     

    Le mushing et autres sports de traction canins

    Le mushing est un sport de traction canin utilisé depuis 4000 ans par des hommes du Nord en Sibérie ou en Amérique du Nord où cette pratique a vu le jour.

     

    Ce mois-ci, nous allons ensemble découvrir différents sports de traction canins à faire avec nos fidèles compagnons à quatre pattes, que ce soit du cani-cross, du cani-VTT ou du cani-trottinette ainsi que les races de chien adaptées. Nous aborderons également la grande question du harnais. Bonne lecture !

     

     

    Le traineau à chien ou “mushing”            

     

    Origine du mot :

    Au 19ème siècle, les Français occupent la quasi totalité du grand Nord canadien. Les chiens sont alors le seul animal capable de tirer de lourdes charges et de résister au froid quasi polaire. Les conducteurs de traîneaux (mushers) français utilisaient alors le mot "Marche" afin de donner le signal du départ à l’attelage de chiens. Le mot fut ensuite déformé par les Québécois et au fur et à mesure de l’histoire, le mot finit par devenir le “Mush” que nous connaissons.  

     

    Histoire : 

    La pratique du mushing a vu le jour en Sibérie et en Amérique du Nord en 2000 av-J.C. Par la suite, en 1534, Jacques Cartier découvre le Canada et plus particulièrement la péninsule de Gaspé. Il revendique alors le territoire, malgré le désaccord des tribus amérindiennes locales, au nom de François 1er Roi de France. 

    Les Amérindiens se révoltent alors et le gouvernement français décide d’envoyer des hommes français sur place dans les tribus afin de fraterniser avec les peuples et de rendre la cohabitation possible. Ces hommes que l'on surnomme les “coureurs des bois” (le terme existe toujours aujourd’hui et désigne les trappeurs au Québec et au Canada) seront les premiers mushers. En 1896 débute la grande ruée vers l’or du Klondike, qui dure jusqu’en 1899. Comme le raconte d'ailleurs Jack London dans L’appel de la forêt, tout type de chien capable de tirer un traineau à travers le Yukon et sa glace, est très prisé et voulu par tous. Le mushing devient alors une pratique largement adoptée par tous les hommes et femmes du Nord car c’est un moyen de transport peu cher et rapide (jusqu’à 90 km par jour pour les meilleurs attelages). Aujourd’hui, le mushing reste un moyen de transport indispensable pour certaines personnes mais est devenu pour la plupart un sport et un loisir pour amoureux des chiens mais est aussi une source de revenus pour des professionnelles qui pratiquent ce sport afin de ravir les touristes ou toute personne désireuse de découvrir cette belle pratique ou de courir des courses de plusieurs dizaines de km (ex, La grande odyssée dans les Alpes).

     

      

    L’attelage est composé de différents chiens aux fonctions bien précises…(source)

     

    Les autres sports de traction :  

                            

    Le Cani-cross :                              

    Le Cani-cross est un sport canin de traction faisant de plus en plus d’adeptes à travers le monde car il peut être pratiqué avec presque n’importe quel chien (bien évidemment, un Jack Russel ne fera pas des miracles pour vous faire foncer) et praticable presque toute l’année (niveau de motivation élevé nécessaire en hiver). Cependant une grande complicité est nécessaire afin d'être efficace et que votre chien vous tracte sans contrainte et que vous profitiez à deux. Pour en savoir encore plus et approfondir, je vous renvoie vers cet article Débuter le canicross avec son chien | Emmène ton chien (emmenetonchien.com)

     

     Le cani-VTT :

    Si le canicross est trop lent pour votre chien et qu’il est frustré car vous le ralentissez, vous pouvez opter pour le cani-VTT. Ce sport est fait pour des chiens de grande taille faits pour la traction (type Husky, Malamute, etc…). Il vous sera aussi nécessaire pour ce sport d’équiper votre  VTT d’une barre de traction (non, pas celle à laquelle vous pensez) conçue pour ce faire. Votre  chien DEVRA OBLIGATOIREMENT bénéficier d’un HARNAIS ADAPTÉ à sa MORPHOLOGIE car ce sport présente de forts risques de blessures en cas de mauvais matériel ou de manque d'expérience. 


        


    Cani-trottinette  :

    Le Cani-trottinette est un mélange entre les deux sports précédents, vous permettant de vous déplacer à grande vitesse sans trop en demander à votre chien. Cependant, ce moyen de transport et de sport reste peu accessible car contrairement au cani-cross, tout type de chien ne peut pas tracter une trottinette, même si vous l’aidez en patinant avec lui. Autre problématique, les trottinettes tout terrain coûtent très cher (entre 800 et 1500 €) et ne sont donc pas facilement abordables et comme cet objet n’est pas très en vogue, les occasions et les revendeurs sont rares. Le cani-trottinette reste cependant un excellent sport pour passer du temps avec votre chien et le faire se dépenser en faisant du sport avec lui.          

     

    Pour plus de précisions et de sports canins :

    Le top 10 des sports de traction à partager avec votre      chien | Emmène ton chien (emmenetonchien.com)                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             

                                           Le harnais : 

     

    Pour le harnais, il y a trois types de harnais que l’on peut utiliser pour la traction : 

    1: Le harnais dit X-back traditionnel et facilement trouvable, sans doute le meilleur ;

    2 : le harnais court fait pour les chiens ayant ou étant susceptibles d’avoir des problèmes de hanches (ex : berger allemand )                                                              

    3 : le harnais en Y pour respecter au mieux la morphologie du chien sans passer sur ses épaules.

    A ne pas prendre :

    Les harnais type Julius k9 passant sur les épaules du chien, ce qui peut lui infliger des blessures graves et des déformations.

     

    Conclusion : Maintenant que vous savez tout, je vous souhaite le meilleur à tous les 2 et de beaux moments de complicité !

     

         


  • Notre journal non-sco se poursuit avec une nouvelle équipe de rédacteurs Ch'tis ! Nous voici rendus à la 8ème édition numérique à paraître début avril et les thèmes partagés par les enfants sont toujours aussi intéressants, les formes variées : poème, recette de cuisine, récit de sortie culturelle ou de voyage, documentaire animalier, musical ou scientifique, activité manuelle, bande-dessinée, critique littéraire... Des goûts personnels et de saison mis à l'honneur ! :)

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    Les garçons n'ont pas perdu leur motivation pour écrire et ont toujours hâte de lire ce que leurs amis ont partagé. Et la réciproque est vraie ! Une belle émulation :)

    Joshua a sur ces dernières éditions écrit sur les sujets du loup, la saga Les royaumes de feu, Journal d'un noob et a partagé une recette de flan à la vanille dont il se délecte. 

    Nathanaël a écrit sur l'élan, le manga Dragon Ball, le scoutisme et le Concorde.

     

    Chacun de ces écrits est l'occasion d'effectuer des recherches, se documenter, croiser les informations, ordonner ses idées, rédiger, illustrer, mettre en forme. C'est un gros travail (d'où la parution bimestrielle et non mensuelle comme initialement prévue) et très riche en apprentissages. C'est notamment à partir de ces productions écrites que je vois les progrès aussi bien que les besoins de mes petits rédacteurs et que j'oriente en fonction le travail sur la langue écrite.

    Pour l'étude de la langue, j'ai trouvé des ressources qui nous conviennent bien et dans lesquelles je pioche à volonté. 

    Pour le primaire : N°1 en orthographe avec le Projet Voltaire, chez Larousse. Des encadrés qui expliquent les règles de manière claire et des exercices de conjugaison, de grammaire et d'orthographe pour s'entraîner. Peu de rédaction, des consignes où il faut relier, cocher, souligner, barrer... Je complète si besoin de pratiquer d'avantage une notion. 

    Pour le collège : Bescherelle Mon MAXI cahier Français Collège, chez Hatier. Là aussi une fiche de cours, un mémo et des exercices portant sur la lecture, l'expression, la grammaire, la conjugaison, l'orthographe, de la 6ème à la 3ème. Je papillonne à travers les 4 niveaux pour fournir à Nathanaël les instruments nécessaires. 

     

    Un journal qui est donc une vive source d'apprentissages et a encore je l'espère de beaux jours devant lui !

     





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